Inquié­tude autour de l'état de santé de Michel Sardou

Par damien_louvetys
Le 28 mars 2018
3 mins
Inquié­tude autour de l'état de santé de Michel Sardou
Crédit photo : Marlyse Press Photo

Vendredi 23 et samedi 24 mars derniers, Michel SARDOU devait donner les deux derniers concerts de sa carrière à la Seine Musicale de Boulogne-Billancourt. Pour autant, l’artiste monté sur scène, est venu lui-même annoncer que le concert du vendredi — et celui du lendemain étaient annulés, car il était dans « l’incapacité d’assurer un spectacle digne d’un dernier spectacle pour son public« . En effet, par certificat médical, il a été confirmé que Michel SARDOU était contraint à un repos vocal forcé. Les concerts sont donc reportés aux 11 et 12 avril prochains.

Le chan­teur a les cordes vocales fati­guées, il semblerait qu’il se soit épuisé à la tâche depuis juil­let 2017, date à laquelle a débuté son ultime tournée intitulée « La dernière danse« , au titre d’une chanson de 2006. Un spectacle avec une trentaine de musiciennes et musiciens, dont un ­ensemble à cordes, une section de vents, des choristes, pour près de 80 concerts dans des grandes salles généralement de type ­Zénith. Ensuite, Michel SARDOU, plus de cinquante ans de carrière — premiers enregistrements en 1965 et derniers en 2017 sur l’album « Le choix du fou » vendu à près de 150 000 exemplaires en quelques semaines, arrêtera la chanson. Mais pas la scène. L’artiste reviendra au théâtre, cette fois à plein-temps, lui qui, depuis le milieu des années 90, a été comédien dans six pièces, dont récemment « Représailles« , d’Eric ASSOUS.

 

LE SAVIEZ-VOUS ?

Si vous êtes fans de Michel SARDOU, sachez qu’un nouveau livre se prépare. Un livre de Bastien KOSSEK, né d’une frustration. « Du haut de mes vingt-six ans, mon rêve est de concevoir un projet autour de Michel SARDOU. D’apporter ma – minuscule et modeste – pierre à l’immense édifice qu’il bâtit depuis plus de cinquante ans. Très vite, l’idée d’un livre — au contenu singulier et nouveau — m’est venue… » confie-t-il (voir sur ce lien).

Par Damien Louvetys