Johnny Hallyday : son album posthume est déjà disque de platine, avant même sa sortie

Par Thierry Cadet
Le 17 octobre 2018
3 mins

Vendredi, pas moins de 800 000 exemplaires de l’album posthume de Johnny HALLYDAY « Mon pays c’est l’amour » seront mis en rayon dans les différents points de ventes (des enseignes agroalimentaires comme Auchan ou Atac proposeront aussi le disque sur leurs étalages). « Nous avons même dû refréner l’ardeur des circuits traditionnels » explique Thierry CHASSAGNE, le PDG de Warner Music. Rien qu’avec les pré-commandes du disque, le label est en mesure d’annoncer que le regretté chanteur sera immédiatement n°1 des ventes, et disque de platine. Johnny HALLYDAY devrait de surclasser LES ENFOIRÉS et décrocher le meilleur démarrage de l’année. Pour rappel, l’opus « Musique ! » était entré en tête du Top avec 129 400 ventes au compteur sur sa première semaine d’exploitation, suivi par Mylène FARMER avec 90 379 exemplaires de « Désobéissance » écoulé il y a deux semaines seulement. La chanteuse est elle aussi disque de platine, en seulement huit jours.

Au programme de ce disque de Johnny « Mon pays c’est l’amour », dix pistes d' »une qualité folle« , dont certains titres ont été révélés : « Je ne suis qu’un homme« , « Un enfant du siècle« , « Tomber encore« , « 4m2« , « J’en parlerai au diable« … « Cet album n’est pas bloqué. Effectivement il y avait eu une demande mais finalement tout le monde a vu que Johnny était très impliqué, était très très au fait de cet album. C’est un album auquel il tenait. J’ai tendance de dire « auquel il tient » tellement il est encore présent parmi nous. C’est un album qui lui tient vraiment au coeur. Je pense que ses fans vont être bluffés. C’est un album exceptionnel. Je pense que c’est un album qu’attendent les fans, mais plus que les fans. On l’a vu, Johnny a bercé l’ensemble de plusieurs générations. Bien sûr c’est notre sortie majeure, mais c’est aussi la sortie majeure de l’industrie de la musique en France. Forcément, il y aura des dispositifs hors norme » poursuit Thierry CHASSAGNE.

Par Thierry Cadet