Mirelle DARC a frôlé la mort après une attaque cérébrale

Par Thierry Cadet
Le 29 septembre 2016
3 mins
Mirelle DARC a frôlé la mort après une attaque cérébrale
Crédit photo : Bestimage

Durant neuf jours, à partir du 19 septembre dernier, Mireille DARC a lutté contre la mort à l'hôpital après une attaque cérébrale. C'est ce que révèle à présent son mari Pascal DESPREZ. "Il y a deux semaines, elle a commencé à avoir mal à la tête pendant tout le week-end …/… Pendant les deux jours, elle avait fait une hémorragie cérébrale, qui, par miracle, est entre le cerveau et la boîte crânienne. C'est-à-dire qu'elle n'aura aucune séquelle. Quand elle a fait une deuxième hémorragie cérébrale, il y a eu un grand moment de panique, elle ne voyait plus, elle ne parlait plus, j'ai eu la peur de ma vie".

Pascal DESPREZ assure que Mireille DARC – âgée aujourd'hui de 78 ans, va quitter le service de réanimation et qu'elle "a récupéré 90% de la parole". "Elle a vraiment failli mourir mais le ciel attendra, ce n'est pas encore pour cette fois-ci …/… elle va bien et même peut-être très bien" a-t-il conclu.

Mireille DARC, née Mireille AIGROZ le 15 mai 1938 à Toulon dans le Var, est une actrice et réalisatrice française. C'est la télévision qui la révèle grâce à "La grande bretèche" de Claude BARMA en 1960 et à "Hauteclaire" de Jean PRAT en 1961, où elle incarne le rôle féminin principal. Georges LAUTNER, avec qui elle tournera treize films, va faire d'elle une star avec notamment "Les barbouzes" en 1964 pour lequel elle décroche son premier rôle principal. A partir des années 90, elle le cinéma et revient à la télévision. Elle y interprète de nombreux rôles populaires. Elle est en bourgeoise redoutable dans "Les cœurs brûlés" ou "Les yeux d'Hélène" de Jean SAGOLS. Suivent "Terre indigo", "Le bleu de l'océan" et "Frank Riva". Elle a également réalisé une série de reportages de société pour France Télévisions.

Côté musique, Mireille DARC chantera Serge GAINSBOURG dès 1966 avec "Libertad". Elle rencontrera le succès trois ans plus tard avec "Hélicoptère" – toujours sous la houlette de GAINSBOURG.

Thierry Cadet