Véronique SANSON : "Donner, c'est donner"

Par Thierry Cadet
Le 29 avril 2016
3 mins
Véronique SANSON : "Donner, c'est donner"
Crédit photo : Stéphane de Bourgies

Le 23 mai prochain à 20h00, sont attendus sur la scène mythique de l’Olympia de Paris, des artistes aussi divers et variés que Véronique SANSONVIANNEY, DAVE, NICOLETTA, Pascal DANELJean-Pierre DANELBIGFLO & OLI, EMJIClaire KEIM, Lisa ANGELL, Julie ZENATTI ou Mathieu SEMPÉRÉ, une affiche exceptionnelle à l’occasion des 70 ans de l’association LES PETITS FRÈRES DES PAUVRES (voir sur ce lien). Un concert organisé par Melody. « De toutes façons, je trouve que tout le monde doit faire quelque chose. Que ce soit les artistes, et c’est bien parce que les artistes, on sait et on peut véhiculer quelque chose ; mais on peut le faire en étant complètement anonyme, pareil. Donner, c’est donner. Nous on va faire une grande fête pour LES PETITS FRÈRES DES PAUVRES qui en ont bien besoin, et nous ça nous fera tellement plaisir… Venez ! » déclare Véronique SANSON à Jack Flash Prod.

« Je suis heureux de m’engager avec LES PETITS FRÈRES DES PAUVRES, parce que cette question de la précarité, c’est une truc finalement que j’ai croisé pas mal de fois, et qui m’a toujours beaucoup touché. » renchérit VIANNEY.

Ce grand concert de soutien au profit de l’association, sous la direction artistique et la plume du chanteur et musicien STANISLAS, fera par ailleurs l’objet d’un CD live du concert commercialisé au profit de l’association fin 2016 par une grande maison de disques partenaire. Les places sont actuellement en vente auprès de la billetterie de l’Olympia Bruno Coquatrix (voir sur ce lien).

Forts de l’investissement de 11 000 bénévoles et 558 salariés, LES PETITS FRÈRES DES PAUVRES accompagnent, depuis 1946, des personnes de plus de 50 ans, souffrant de solitude, de pauvreté, d’exclusion, de maladies graves. Non confessionnels et reconnus d’utilité publique, ils aident 36 400 personnes dont 11 400 sont accompagnées régulièrement. Présents dans la plupart des régions françaises grâce à leurs 200 équipes d’action et 30 maisons et établissements résidentiels ou de vacances, les petits frères des Pauvres sont essentiellement financés par les dons et les legs.

Thierry Cadet