Les z'heureux rois z'Henri : François 1er du 28-12-1974
VARIÉTÉS
|Durée : 1 h 12 mins
Premier d’une série de douze, ce divertissement basé sur la complicité de Roger PIERRE et Jean Marc THIBAULT, se propose de nous conter la chronique de nos Rois de France, de François Ier à Louis XIII. Tandis qu’un humoriste-académicien différent à chaque fois, évoque les grands évènements, des sketches, chansons, farces, ballets, cascades viennent les illustrer.
C’est Jacques MARTIN (en académicien) qui passe en revue la galerie de portraits de nos Rois barbus et raconte comment François d’Angoulême devint François Ier. C’est à la suite d’une bataille de boules de neige que le jeune homme resta balafré. Pour cacher cette blessure il se laissa pousser la barbe et lança la mode à la Cour. Son beau-père, Louis XII, a épousé la jeune Mary d’York, mais vieux et malade, il ne peut lui faire un enfant. La jeune femme attire François dans sa chambre pour se faire engrosser, mais avertit, celui-ci se dérobe. Louis XII meurt sans héritier mâle, sa fille Claude ayant épousé François d’Angoulême, celui ci devient François Ier et invente sur le champ, la commode, le secrétaire, bref le style Renaissance.
C’est après avoir gagné la bataille de Marignan, aidé du chevalier Bayard, que François fait un tour chez un peintre, ingénieur inventeur, et achète la Joconde. Il admire au passage quelques petits objets qui verront le jour des siècles plus tard. De retour à la Cour il offre à sa femme, des prunes qui porteront désormais le nom de « Reine-Claude ».
L’histoire se termine par l’entrevue du Camp du Drap d’Or entre François Ier et le Roi d’Angleterre Henri VIII, qui vont se livrer à quelques beuveries, duel, tournoi. Le tout finit en chanson sur un air de boogie.
Avec « Les petits de Corée », André BADIN, Micha BAYARD, Michel CRETON, Claude FRANCOIS, Danièle GILBERT, Ivry GITLIS, Martine KELLY, Marie LAFORET, Jacques MARTIN, Jean RICHARD, Robert ROLLIS, Jean RUPERT, SABRINA, Rima VETTER, Nono ZAMMIT.
Les titres :
– Claude FRANCOIS : « Ca s’en va et ça revient »
– Marie LAFORET : « Un peu l’amour »
– Ivry GITLIS joue du violon