BÉNABAR est de retour avec "Feu de joie"
Alors qu’il s’était plutôt consacré à la comédie ces dernières années, que ce soit au cinéma (« Jamais de la vie« , « Le secret d’Elise« ) ou au théâtre (« Je vous écoute« ) – si l’on exclu ses participations aux albums tribute de BARBARA et d’Henri SALVADOR, BÉNABAR revient à ses premières amours, avec « Feu de joie« . Ce single, disponible depuis quelques jours, a été choisi en qualité de premier extrait de son huitième et nouvel album à paraître dans le courant du premier semestre 2018. Un disque réalisé par Mark DAUMAIL de COCOON. Il faut dire que le dernier opus de l’artiste, « Inspiré de faits réels« , n’avait pas rencontré le public escompté. Péniblement 175 000 preneurs à l’arrivée. On est très loin des chiffres des premiers disques « Les risques du métier » en 2003 et surtout « Reprise des négociations » en 2005 (écoulé à plus d’un million d’exemplaires). Un coup de jeune donc, à suivre…
Bruno NICOLINI, dit BÉNABAR, est né le 16 juin 1969 à Thiais. Il grandit à Saintry-sur-Seine, en Essonne, dans la banlieue parisienne. Sa mère italienne est libraire et son père corse est régisseur pour le cinéma et a fait au moins une cinquantaine de films. À huit ans, il s’initie à la trompette, parce que cela est symbolique des clowns et du cirque qui l’impressionnent, et par goût musical. Après son baccalauréat français et un passage aux États-Unis, il devient technicien et photographe pour le cinéma, avant de dévoiler son premier album « Bénabar et associés » en 1997, signé sur un label indépendant.
Thierry Cadet