Chantal GOYA s'envole à Beyrouth

Par Thierry Cadet
Le 20 janvier 2018
3 mins
Chantal GOYA s'envole à Beyrouth
@Affiche du spectacle

En 2018, Chantal GOYA reprendra « Le soulier qui vole » (voir sur ce lien), ce spectacle musical créé en 1980 au Palais des Congrès de Paris. D’abord à Lille, puis à Paris, et en tournée en France. A 75 ans, la chanteuse, actuellement sur les routes avec « Le monde magique de Chantal Goya » reprenant ses plus grands succès, sans oublier une quinzaine d’inédits, se confiait l’an dernier à nos confrères de « La voix du Nord », laissant échapper l’indiscrétion de l’enregistrement prochain d’un nouvel album. « Monter sur scène, je n’ai fait que ça toute ma vie, et je ne sais faire que ça. Je ne veux pas m’arrêter. Et pour faire quoi ? Pour aller me promener avec Jean-Jacques. J’ai besoin de bouger. Je prépare Le soulier qui vole qui sera joué en 2018 à Lille, et un album. La retraite, très peu pour moi. Je n’ai rien devant moi, pas de maison. Par contre, j’ai des hangars où sont stockés les beaux costumes, et je dois avoir, en retraite, 565 € par mois« .

La tournée du « Il était une fois… Marie-Rose » s’envolera au Liban, à Beyrouth, les 10 et 11 mars prochains. « Vous êtes nombreux à nous demander si Chantal passera par votre ville ou votre région. Les lieux des concerts sont en fonction des demandes des organisateurs locaux qui invitent Chantal à réaliser ses spectacles. Nous espérons que des villes demanderont de nouvelles dates pour la tournée. Nous vous informons aussitôt quand une nouvelle date se rajoute » peut-on lire sur sa page Facebook.

 

LE SAVIEZ-VOUS ?

Alors qu’il a terminé l’écriture de sa comédie musicale « Sans famille » il y a trois ans (voir sur ce lien), Jean-Jacques DEBOUT a confié à Frédéric ZEITOUN dans « Melody de ma vie » (voir sur ce lien), qu’il venait aussi de mettre un point final à une seconde comédie musicale, « Poil de carotte« , inspirée de l’œuvre de Jules RENARD, et aussi d’où venait le pseudonyme de Chantal GOYA (pour en savoir plus, cliquez ici).

Par Thierry Cadet