Colombia Records - Un doyen dans l'industrie du disque

Par Gilles Farina-Vallé
Le 13 septembre 2022
2 mins
Colombia Records - Un doyen dans l'industrie du disque
Zur ARTE-Sendung Michael Jackson ? Eine Karriere zwischen schwarz und weiß 1: Michael Jackson durchbrach als Musiker die Grenzen zwischen schwarz und weiß. © Sony BMG Foto: ZDF Honorarfreie Verwendung nur im Zusammenhang mit genannter Sendung und bei folgender Nennung "Bild: Sendeanstalt/Copyright". Andere Verwendungen nur nach vorheriger Absprache: ARTE-Bildredaktion, Silke Wölk Tel.: +33 3 881 422 25, E-Mail: bildredaktion@arte.tv

Aujourd’hui, revenons sur l’un des plus anciens labels au monde Colombia Records. Ce dernier est fondé en 1889 par Edward D. Easton. Pour le nom ? Ça sera celui du district de la ville de Washington où les bureaux se trouvent.

Au commencement de l’entreprise, l’activité se base principalement sur la fabrication de phonographes et de cylindres. Mais faisons un bon dans le temps.

Après la seconde guerre mondiale, le président du label Edward Wellenstein, décide de graver l’intégralité d’un mouvement symphonique sur une face de disque. C’est une révolution, le format LP est crée. Suivra par la suite le fameux 45-tours populaire et accessible.

Ainsi, la seconde moitié du XXe siècle fera entrer Colombia dans la légende. Les disques se vendent massivement. Elvis Presley, Bob Dylan, Simone & Garfunkel, Leonard Cohen ou encore AC/DC rejoignent la maison de disque. La liste des illustres artistes qui ont signé chez Colombia serait trop longue mais sachez que c’est en 1982 que le label rentre une fois de plus dans l’histoire. En effet, Thriller de Michael Jackson s’est vendu à 66 millions d’exemplaires, devenant l’album le plus vendu de l’histoire.

Enfin en 1988, Columbia Records/CBS est racheté par Sony, le géant japonais.

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