Daniel BALAVOINE : un prime sur TF1 pour les 30 ans de sa disparition
Le 14 janvier 2016, il y aura 30 ans que Daniel BALAVOINE nous aura quittés. L'occasion pour bon nombre de médias, labels et autres chaînes de télévision, de commémorer l'événement, sous la forme de divers hommages (échappera-t-on à l'album de reprises ?), comme le fera TF1 en janvier prochain. Une information dévoilée par l'ex-présentateur de "Danse avec les stars", Vincent CERUTTI : "Je peux vous annoncer qu'il y aura un prime pour fêter le triste anniversaire des 30 ans de la disparition de Daniel BALAVOINE, en tout début d'année, à l'occasion de la réouverture de Bercy, avec des invités et des proches de l'artiste" confie-t-il à Pure Médias. En sus, France 3 diffusera un documentaire réalisé par Didier VARROD dédié à l'interprète de "Mon fils, ma bataille", et TMC le mettra à l'honneur dans "Il était une fois".
Le dernier album de Daniel BALAVOINE, "Sauver l'amour", porté par "L'Aziza" (n°1 au Top 50 quelques semaines après sa disparition) s'écoulera à 1 200 000 exemplaires et recevra en 1986 un honneur posthume : la Victoire de la Musique de l'"Album de l'année". Daniel BALAVOINE s'en ira à l'aube de ses 34 ans, et n'assistera jamais à la naissance de sa fille Joana (se lançant à son tour dans la musique), qui verra le jour le 1er juin 1986. "C’est maman qui m’a appelée pour me l’apprendre. Il allait être 10 heures du matin, j’écoutais de la musique chez moi. J’ai immédiatement allumé ma radio sur Europe 1. Je n’arrivais pas à y croire, le journaliste était en larmes en annonçant sa mort. J’ai immédiatement rejoint maman qui hurlait de douleur quand je l’ai retrouvée. Elle voulait que je lui trouve du bois et une hache. Elle voulait fendre des bûches comme pendant la Seconde Guerre mondiale quand elle apprenait une mauvaise nouvelle. Elle voulait évacuer sa douleur. Puis on a accepté l’impensable : c’était son heure, Daniel devait partir ainsi. On ne s’est jamais dit si seulement si…" confie la sœur du chanteur, Claire, au sein du livre "Daniel Balavoine", toujours disponible (voir sur ce lien).
Thierry Cadet