Etienne DAHO : écoutez son single inédit "Paris sens interdits"

Par Thierry Cadet
Le 6 octobre 2015
3 mins
Etienne DAHO : écoutez son single inédit "Paris sens interdits"
Crédit photo : visuel du nouveau single d'Etienne Daho

C’est à l’occasion d’un double Best of « L’homme qui marche » disponible le 6 novembre prochain, qu’Etienne DAHO dévoile le premier inédit du disque : « Paris sens interdits« . Ecrit et composé en 1989 notamment par Arthur BAKER ou Caroline LOEB, et qui scelle en 2015 la rencontre entre Etienne DAHO, le réalisateur Johnny HOSTILE (SAVAGES…) et Tony VISCONTI (David BOWIE…), à l’occasion de ce nouveau remix « Paris sens interdits (Tony Visconti’s Mix)« . « La ville« , un single produit en 1998 par Etienne DAHO pour Daniel DARC, sera le second inédit, disponible dans sa version duo. Un projet qui réunira ses plus grands tubes (trente-six morceaux entièrement remasterisés), et qui intervient quatre ans seulement après la sortie de la compilation « Monsieur Daho » qui célébrait ses 30 ans de carrière. Entre temps, l’interprète de « Tombé pour la France » n’avait publié qu’un seul disque de chansons originales « Les chansons de l’innocence retrouvée« , en 2013.

Etienne DAHO est né le 14 Janvier 1956 à Oran, en Algérie. Après avoir passé toute son enfance à Oran, il part avec son oncle et sa tante en métropole à l’âge de huit ans tout d’abord à Reims avant que son oncle ne soit muté à Rennes où ses sœurs le rejoindront. Etienne DAHO découvre alors grâce à ses sœurs, la pop anglaise et les sonorités de la Motown. En 1981, le jeune homme enregistre « Mythomane » son premier album avec les musiciens de MARQUIS DE SADE et JACNO à la production. Si les éloges de la presse lui font plaisir, les ventes ne décollent pas. Par la suite, il dévoile le titre inédit « Le grand sommeil« , qui obtient alors un joli succès qui lui permet de sortir en 1984 « La notte, la notte » un second opus produit par Frank DARCEL, qui sera certifié double disque d’or, grâce notamment au tube « Week-end à Rome » qui lui ouvrera de nombreuses portes, dont celle de l’Olympia au printemps 1985.

Thierry Cadet