MATMATAH défend la cause animale dans le clip de "Triceratops"
Après 1 300 0000 albums vendus, trois disques d'or, un double disque de platine – à l'époque du tube "Lambé an dro" (Top 12 en 1998), la renommé du groupe n’est plus à faire. En quatre albums studio, MATMATAH est devenu un acteur incontournable du paysage rock français. Originaire de Brest, le groupe, composé de Tristan NIHOUARN (qui a dévoilé "Sauf erreur de ma part", un album solo en 2012), Cédric FLOC'H, Éric DIGAIRE et Jean-François PAILLARD (remplacé plus tard par Benoît FOURNIER), a su conquérir l’Hexagone ainsi que le monde entier, en se produisant aux quatre coins du globe. MATMATAH aura marqué le paysage musical français et ouvert les portes à une nouvelle génération de musiciens.
Le 25 septembre prochain, sortira le nouvel album de la formation bretonne. Un Best Of "Antaology", agrémenté d'inédits dont le dernier single "Triceratops". Voilà près d'un an que les comparses ont commencé à chercher des versions alternatives, des maquettes, des lives, ainsi que les premiers enregistrements du groupe pour élaborer ce coffret. Et c'est en passant toutes ces heures ensemble qu'ils ont eu envie de terminer certains morceaux inachevés avec la complicité d'Emmanuel BAROUX. Parmi eux "Triceratops", une chanson de la même veine de celles avec lesquelles MATMATAH a fait bouger toute une génération. Le clip de ce dernier est l’occasion pour le combo de s’exprimer sur des causes qui lui tiennent à cœur et de dénoncer certaines pratiques de notre société actuelle, notamment la maltraitance des animaux dans l’industrie agro-alimentaire ainsi que la surconsommation.
Thierry Cadet