Michael Bublé n’a aucunement l’intention de prendre sa retraite

Par Thierry Cadet
Le 16 octobre 2018
3 mins
Michael Bublé n’a aucunement l’intention de prendre sa retraite
Crédit photo : Marlyse Press Photo

Son fils aîné Noah souffre d’un cancer du foie. Pour autant, le crooner Michael BUBLÉ n’a aucunement l’intention de prendre sa retraite, comme le sous-entendaient bon nombre de médias dès le week-end dernier. Le quiproquo vient de l’édition du week-end du « Daily Mail », pour laquelle le chanteur canadien de 43 ans, interrogé à l’occasion de la sortie le 16 novembre de son disque « Love« , revenait sur le cauchemar qu’il a vécu lorsque les médecins lui ont annoncé que son fils aîné Noah (3 ans au moment des faits), souffrait d’un cancer du foie. « J’ai décidé de ne plus jamais lire mon nom dans les journaux, de ne plus jamais lire une critique. Et je ne l’ai pas fait depuis. J’ai décidé de ne plus jamais aller sur les réseaux sociaux. Et je ne l’ai pas fait depuis. C’est ma dernière interview. Je quitte le business. J’ai fait l’album parfait et je peux m’en aller au sommet« .

« Je n’étais pas assise à côté de lui pendant l’interview, mais ses propos ont du être sortis de leur contexte » rapporte aujourd’hui son agent, Liz ROSENBERG. « Michael BUBLÉ n’a aucunement l’intention de prendre sa retraite. Il a peut-être évoqué les différentes émotions qu’il a traversées ces dernières années, et cette idée de s’arrêter lui a possiblement effleuré l’esprit. Mais que les fans se rassurent, avec un nouvel album à venir, des apparitions télé et une possible tournée, il ne prend pas sa retraite« . Ouf.

Michael BUBLÉ est considéré comme l’un des principaux héritiers des chanteurs de jazz vocal des années 50 et 60. Il est fréquemment comparé à des crooners comme Frank SINATRA ou Dean MARTIN. En France, « Haven’t Met You Yet« , « It’s A Beautiful Day » ou « Home« , comptent parmi ses plus grands succès; trois de ses albums ont atteint le Top 5 des meilleures ventes de disques dans notre Hexagone, la semaine de leur sortie.

Par Thierry Cadet