NEW POPPYS : entrez sur le tournage du clip "Non, non rien n'a changé"

Par Thierry Cadet
Le 31 octobre 2016
2 mins
NEW POPPYS : entrez sur le tournage du clip "Non, non rien n'a changé"
Crédit photo : visuel de l'album des New Poppys

Une nouvelle génération de talents reforme le groupe culte POPPYS pour la sortie d'un nouvel album "Chanter pour rêver" composé d'anciennes chansons revisitées dont "Non, non, rien n'a changé" (déjà reprise par BILLY ZE KICK en 1996) ou "Noël 70" (avec des paroles actualisés), et de titres inédits dont quelques reprises du "Sens de la vie" de TAL, au "Temps qui court" d’Alain CHAMFORT, en passant des chansons de Julien CLERC, Jean-Jacques GOLDMAN, FRÉRO DELAVEGA ou TÉLÉPHONE… Prévu pour le 25 novembre prochain chez Smart/Sony, ce sont Olivier et Julien SCHULTHEIS (les fils de Jean SCHULTHEIS "Confidence pour confidence") qui supervisent actuellement l'enregistrement de ce projet. Melody vous emmène dans les coulisses du tournage du clip.

Entre huit et quinze ans, ils n’ont évidemment aucun souvenir de la gloire énorme des POPPYS. Mais la parenté est flagrante (et pas seulement parce que certains appartiennent à la famille d’anciens chanteurs de 1970) : Quatorze garçons âgés de 8 à 15 ans, issus des PETITS CHANTEURS D'ASNIÈRES, comme l’étaient d’ailleurs déjà leurs ainés, surfent donc sur le succès de KIDS UNITED, et font donc revivre sous le nom de NEW POPPYS, les chansons qui ont bercé toute une génération d’adolescents dans les années 70. Eux aussi chantent des valeurs positives et des élans utiles dans une époque mouvementée.

Composés des Petits Chanteurs d'Asnières, les POPPYS âgés de 10 à 14 ont connu un succès fulgurant au début des années 70, sous la houlette d'Eddie BARCLAY et de François BERNHEIM. Ils prônaient la paix, l'écologie et la bonne vertu sur des mélodies pop à contre-courant des codes des chorales traditionnelles. "Noël 70", "Isabelle, je t'aime" ou "Non, je ne veux pas faire la guerre" seront également parmi leurs hits. Cinq millions de disques s'écouleront sur trois années.
 

Thierry Cadet