Rose LAURENS en concert à Paris le 17 novembre

Par Thierry Cadet
Le 31 août 2015
3 mins
Rose LAURENS en concert à Paris le 17 novembre
Crédit photo : affiche du concert parisien de Rose Laurens

C’est l’année du grand retour pour Rose LAURENS. Après avoir intégré le Top en avril dernier avec un nouvel album (un disque écrit en partie par Pierre PALMADE, est actuellement porté par le single « Si j’pars sur une île), voici que l’interprète du tube 80’s « Africa » annonce un concert à Paris, le 17 novembre prochain sur la scène de l’Européen. « Et voilà, les vacances sont déjà finies ! J’espère que vous avez fait le plein d’énergie pour cette rentrée que j’ai hâte de partager avec vous ! Plein de belles choses à venir, des radios, des télés… et comme vous vous en doutez nous commençons à travailler pour mon concert du 17 novembre à l’Européen ! Alors à très vite ! Je vous embrasse » déclare-t-elle sur sa page Facebook.

Rose PODWOJNY alias Rose LAURENS est née le 4 mars 1953. C’est à 20 ans qu’elle commence sa carrière, en devenant le leader du groupe SANDROSE, un groupe de rock qui se séparera au bout d’un an, après quelques concerts et un album. Malgré cet échec, Rose LAURENS décidé de se lancer en solo et sort quelques 45 tours entre 1976 et 1977 (sous le pseudonyme de Rose MERRYL), qui ne rencontreront pas le succès.

C’est sa collaboration avec Jean-Pierre GOUSSAUD qui va changer toute sa vie, car en plus de tomber amoureuse, Rose LAURENS trouvera dans le compositeur, celui qui lui permettra de faire carrière. Ainsi, en 1979 Rose LAURENS dévoile « Survivre« . L’année suivante, elle est choisie par Robert HOSSEIN pour interpréter sur scène le rôle de Fantine dans la comédie musicale « Les Misérables » de Victor HUGO, dont les textes sont signés par Alain BOUBLIL sur des musiques de Claude-Michel SCHÖNBERG. Enfin, c’est un premier album « Déraisonnable » qui sortira en 1982, porté par le tube « Africa » (et son follow-up « Mamy Yoko« ). En 2002, Rose LAURENS remonte sur les planches au sein de la comédie musicale de François VALÉRY, « L’ombre d’un géant« .

Thierry Cadet