Phil COLLINS

Avant de commencer sa carrière avec Genesis, Phil COLLINS a enregistré en tant que musicien de session sur l’album du guitariste Georges HARISSON, membre des Beatles. En 1970, il joue sur l’opus All Things Must Pass, sur le morceau Art Of Dying. Finalement, après l’enregistrement du titre, Georges Harrisson décide de ne pas garder la version sur laquelle Phil Collins avait joué de la batterie.

La collaboration de Phil Collins avec Frida d’ABBA

En 1982, lorsque que le groupe ABBA se dissout, la chanteuse Anni-Frid Lyngstad - surnommée « Frida » - fait appel à Phil Collins pour son album. Le batteur de Genesis produit Something’s Going On, le troisième projet de Frida. Il écrit la chanson You Know What I Mean. Tous les musiciens de Phil Collins sont présents sur le disque de l’ex-chanteuse d’ABBA, et lui, joue de la batterie et du clavier synthétiseur.

Inspiration et déception amoureuse pour Against All Odds

La célèbre chanson Against All Odds - Take a Look At Me Now sortie en 1984, a été écrite pour le film Contre toute attente, réalisé par Taylor Hackford. Ce titre a été inspiré par la séparation entre Phil Collins et sa première femme : une déclaration enflammée d’un homme à sa compagne qui le quitte.

Deux concerts sur deux continents

Lors du concert caritatif Live Aid qui se tenait le même jour, le 13 juillet 1985, à Londres et à Philadelphie, Phil Collins s’est produit aux deux endroits. Il a pris le vol du Concorde pour traverser l’Atlantique et a bénéficié aussi du décalage horaire. Il est le seul musicien, à s’être produit sur deux continents différents pour le même événement.   

Phil Collins et le cinéma

Phil Collins a fait plusieurs apparitions au cinéma, dans un épisode de la série Deux Flics à Miami en 1985, ou dans le film Buster en 1988 pour jouer le rôle principal. L’ex-membre de Genesis apparait de nombreuses fois dans le 7^e art. Il figure également, dans le long-métrage Hook de Steven Spielberg en 1991. Il y incarne l’inspecteur de police enquêtant sur la disparition de Jack et Maggie, les enfants de Peter Pan.

A l’occasion de son 70^ème anniversaire (Phil Collins est né le 30 janvier 1951), Melody met à l’honneur cet Artiste dans différents programmes du 30 janvier au 5 février :

• Video Killed the radio star Peter Gabriel, le 31 janvier à 20h40
• Les enfants du rock Genesis à Dallas, le 2 février à 20h40
• Melody Genesis, le 2 février à 21h10
• Pop 2, avec Phil Collins & Alice Cooper, le 3 février à 20h40

Retrouvez également la chronique Melody Story sur le titre You Can’t Hurry Love de Phil Collins, avec notre spécialiste Frédéric Zeitoun le 31 janvier.

Au carrefour des années 80 et 90, le quatrième album solo de Phil COLLINS (le batteur et chanteur du groupe GENESIS) "...But Seriously", a généré quatre tubes : "Another Day In Paradise" (Top 8 en 1990) — par ailleurs repris avec succès en 2001 par BRANDY et RAY J (Top 11), "I Wish It Would Rain Down" (Top 11 en 1990), "Something Happened On The Way To Heaven" (Top 35 en 1990) et "Do You Remember ?" dans sa version live (Top 22 en 1991). Ecoulé à plus de 20 millions d'exemplaires à travers le monde, il est sa seconde meilleure vente après "No Jacket Required" sorti quatre ans plus tôt. Pour cet opus, Phil COLLINS a délaissé la boite à rythmes pour se concentrer plus sur les percussions et la batterie authentique. Il a aussi utilisé plus de claviers et de piano électrique mais très peu de synthétiseurs. A la fin de l'année 1990, "...But Seriously" devient le 2ème album le plus vendu de l'année aux Etats-Unis, derrière "Rhytm Nation 1814" de Janet JACKSON.

"...But Seriously" est actuellement réédité à l'occasion de son 30ème anniversaire. Un nouveau visuel reprend l'ancien, mais avec un Phil COLLINS plus âgé (comme il l'avait déjà fait pour les rééditions de "Face Value" (1981), "Hello, I Must Be Going !" (1982), "No Jacket Required" (1985), "Both Sides" (1993), "Dance Into the Light" (1996) et "Testify" (2002)). La version augmentée et remasterisée de "...But Seriously" propose en 2 CD digipack et digitale, des versions live, des démos et des faces B rares ou inédites. Egalement disponible en vinyle 180gr audiophile.

LE SAVIEZ-VOUS ?

La chanson "You Can’t Hurry Love" est un titre du groupe THE SUPREMES. À l’époque, le groupe, signé sur le label Motown, est constitué de Mary WILSON, de Florence BALLARD et de Diana ROSS. Cette chanson est un énorme succès dès sa sortie en 1966. En 1972, Claude FRANÇOIS reprend ce tube en le renommant "Une fille et des fleurs". En 1982, Phil COLLINS reprend à son tour "You Can’t Hurry Love", et en fait un nouveau succès ! Inclue dans le second album du chanteur britannique, le titre se classe en première position dans les charts anglais dès sa sortie. Un titre récemment repris par GAROU sur son nouvel album "Soul City".

Par Thierry Cadet

Il y a deux ans, puis à l'occasion d'une série de rééditions de ses albums intitulée "Take A Look At Me Now" (voir sur ce lien), Phil COLLINS sortait de sa retraite et annonçait enfin un successeur à son album "Testify" paru en 2002, ainsi que de nombreux concerts. "Peu importe ce qui arrive, je peux jouer du piano et chanter. Mes enfants ont maintenant 10 et 14 ans et ils veulent voir de quoi leur père est capable. Le cheval est sorti de l'écurie et j'ai hâte de me lancer" déclarait-il alors. Mais les fans devront encore patienter... Si on attend toujours ce disque composé d'inédits, il n'en demeure pas moins que la voix de GENESIS honore actuellement un nouveau projet reprenant tous ses tubes, de "In The Air Tonight" (Top 20 en 1989) en passant par "Two Hearts" (Top 24 en 1999) ou "Another Day In Paradise" (Top 8 en 1990). Un nouveau Best Of incluant seulement ses singles est en effet disponible.

Enfin, après avoir dévoilé sa biographie "Not Dead Yet", c'est également sur scène que l'artiste britannique fera son grand retour ; il prévoit déjà deux concerts aux AccorHotels Arena de Paris, les 18 et 19 juin prochains. "Ce sera un concert Best of car je n’ai pas encore de nouvelles chansons. Mais je promets qu’il n’y aura pas que des tubes, il y aura des choses très différentes" précise-t-il sur l'antenne de RTL. "Mon fils jouera avec moi, ce sera le seul batteur sur scène. Je lui en ai parlé longuement. Il est très confiant. À l’US Open, il jouait devant 20 000 personnes. Ce ne l’embêtait pas ! Vous savez, quand vous adorez jouer, vous savez ce que vous avez à faire".

Phil COLLINS, né le 30 janvier 1951 à Londres, intègre le groupe GENESIS en 1971. Quatre ans après son arrivée dans la formation, il est propulsé en tant que chanteur officiel (et batteur) suite au départ de Peter GABRIEL, et c’est à ce moment là que le groupe connaîtra ses plus grandes heures de gloire. Un succès qui ne se démentira pas jusqu’en 1996. En 1981, Phil COLLINS avait décidé de tenter sa chance en solo en publiant l’album "Face Value", n°1 dans les charts britanniques dès sa première semaine de parution.

Thierry Cadet

En octobre dernier, Phil COLLINS sortait de sa retraite et annonçait enfin un successeur à son album "Testify" paru en 2002, ainsi que de nombreux concerts. "Peu importe ce qui arrive, je peux jouer du piano et chanter. Mes enfants ont maintenant 10 et 14 ans et ils veulent voir de quoi leur père est capable. Le cheval est sorti de l'écurie et j'ai hâte de me lancer" déclarait-il alors. Si on attend toujours ce disque composé d'inédits, il n'en demeure pas moins que la voix de GENESIS honore actuellement un projet qu'il avait sans cesse repoussé pour des questions de santé : une série de rééditions de ses albums intitulée "Take A Look At Me Now" (Regarde-moi maintenant). Et on ne peut pas dire que Phil COLLINS ait fait les choses à moitié, puisque la particularité de ces nouveaux pressages est que l'artiste s'est vieillit sur la totalité des visuels. Une idée de génie ! Sur la forme, une reproduction fidèle des pochettes de ses anciens albums avec, en lieu et place du Phil d’hier, le Collins d’aujourd’hui ; sur le fond, des morceaux retravaillés, étendus et remasterisés : "Face Value" (1981), "Hello, I Must Be Going !" (1982), "No Jacket Required" (1985), "Both Sides" (1993), "Dance Into the Light" (1996) et "Testify" (2002)… Ils sont presque tous là.

Phil COLLINS, né le 30 janvier 1951 à Londres, intègre le groupe GENESIS en 1971. Quatre ans après son arrivée dans la formation, il est propulsé en tant que chanteur officiel (et batteur) suite au départ de Peter GABRIEL, et c’est à ce moment là que le groupe connaîtra ses plus grandes heures de gloire. Un succès qui ne se démentira pas jusqu’en 1996. En 1981, Phil COLLINS avait décidé de tenter sa chance en solo en publiant l’album "Face Value", n°1 dans les charts britanniques dès sa première semaine de parution.

Thierry Cadet

Il y a un an, Phil COLLINS, taraudé par la dépression depuis le départ en Floride de sa femme et de ses deux fils s'exprimait à ce sujet : "Je n'ai jamais été alcoolique, pourtant aujourd'hui, à 11 heures du matin, j'ai déjà sifflé une bouteille de vin... Mon médecin m'a dit : "Je peux t'aider à arrêter de boire, mais je suis incapable de te donner une bonne raison de te lever chaque matin. Je ne suis plus un bon père. Je ne peux même plus jouer au foot avec mes enfants parce que j'ai un genou en charpie". Ses problèmes de santé s'agravant (il a dû récemment subir une intervention chirurgicale au dos), l'ex-batteur du groupe GENESIS, avait même déclaré au "FHM" britannique : "J'arrête la musique pour être un père à plein temps pour mes deux jeunes fils". Visiblement, il a changé d'avis. Alors que sortira le 20 novembre prochain le nouvel album d'ADELE auquel le chanteur devait participer (voir sur ce lien), Phil COLLINS sort de sa retraite et annonce un successeur à son album "Testify" paru en 2002, et de nombreux concerts (notamment le 12 décembre prochain à l'occasion d'un concert de charité à Miami Beach, en Floride). "Peu importe ce qui arrive, je peux jouer du piano et chanter. Mes enfants ont maintenant 10 et 14 ans et ils veulent voir de quoi leur père est capable. Le cheval est sorti de l'écurie et j'ai hâte de me lancer". Enfin, en plus d'une autobiographie prévue pour 2016, Phil COLLINS prépare la réédition de ses albums intitulée "Take A Look At Me Now".

Phil COLLINS, né le 30 janvier 1951 à Londres, intègre le groupe GENESIS en 1971. Quatre ans après son arrivée dans la formation, il est propulsé en tant que chanteur officiel (et batteur) suite au départ de Peter GABRIEL, et c’est à ce moment là que le groupe connaîtra ses plus grandes heures de gloire. Un succès qui ne se démentira pas jusqu’en 1996. En 1981, Phil COLLINS avait décidé de tenter sa chance en solo en publiant l’album "Face Value", n°1 dans les charts britanniques dès sa première semaine de parution.

Thierry Cadet

Très affecté par le silence de la chanteuse britannique ADELE, qui lui avait pourtant demandé de lui composer des chansons pour son nouvel album, l'ex-GENESIS Phil COLLINS, sort du sien. Elle m’a appelé chez moi à Fléchy, et m’a demandé si je voulais bien écrire pour elle. Elle m’a ensuite donné une partition de musique à terminer. Puis, je ne sais pas si j’ai loupé l’audition, toujours est-il que je n’ai plus jamais eu de nouvelles d'ADELE déplore Phil COLLINS à nos confrères du magazine "Q". Je décide d'appeler ADELE et voilà ce qu'elle me répond : "Je déménage, le bébé me prend tout mon temps (ndlr : la chanteuse est maman depuis fin 2012). En fait, en ce moment, je ne fais rien. Sauf que parallèlement, Phil COLLINS apprend qu'elle a bouclé son nouvel album dont la sortie reste encore à déterminer. Au moins, c'est sûr, je ne suis pas dedans.

Une collaboration avec ADELE était pourtant tout ce qu'il aurait fallu de bien à l'ex-batteur, qui ne peut plus jouer de son instrument suite à des problèmes de santé. Phil COLLINS, taraudé par la dépression depuis le départ en Floride de sa femme et de ses deux fils s'exprime à ce sujet : Je n'ai jamais été alcoolique, pourtant aujourd'hui, à 11 heures du matin, j'ai déjà sifflé une bouteille de vin... Mon médecin m'a dit : "Je peux t'aider à arrêter de boire, mais je suis incapable de te donner une bonne raison de te lever chaque matin. Je ne suis plus un bon père. Je ne peux même plus jouer au foot avec mes enfants parce que j'ai un genou en charpie.

Phil COLLINS, né le 30 janvier 1951 à Londres, intègre le groupe GENESIS en 1971. Quatre ans après son arrivée dans la formation, il est propulsé en tant que chanteur officiel suite au départ de Peter GABRIEL, et c’est à ce moment là que le groupe connaîtra ses plus grandes heures de gloire. Un succès qui ne se démentira pas jusqu’en 1996. En 1981, Phil COLLINS avait décidé de tenter sa chance en solo en publiant l’album "Face Value", n°1 dans les charts britanniques dès sa première semaine de parution. 

Thierry Cadet