Gorri le diable - Le triomphe de Gorri du 26-10-1968

Maider, Etche, Tête en bois et Manech sont arrivés chez le curé qu’ils essayent de convaincre d’aller chercher les aveux de Mornard, cachés dans la montagne. Il finit par se laisser persuader et apporte le papier au capitaine Guibert. Celui-ci estime que, pour que le juge soit convaincu, il faut que Mornard confirme ses aveux devant un tribunal régulier et que Gorri se livre.
Le capitaine Mornard se rend à la gendarmerie et raconte, à sa façon, l’attaque du poste de douane par Gorri et ses amis venus délivrer Maider. Le capitaine Guibert l’écoute avec ironie.
Pour pouvoir amener Gorri au capitaine Guibert et de là, à Bayonne, ses amis l’ont drogué et le chargent tout endormi sur une mule.
Quand le jeune homme arrive, escorté par les gendarmes, tout Saint Jean est là, prêt à en découdre pour délivrer son contrebandier. Le curé essaye en vain de calmer la fureur de ses ouailles ; seul Gorri y parvient, pour la plus grande fureur de Mornard.
Arrive une lettre venue de Bayonne par messager spécial et qui ordonne la libération de Gorri et de ses amis. Mornard, se sentant vraiment démasqué, pique des deux et s’enfuit, bientôt rattrapé par les gendarmes.
C’est grand dîner à l’auberge ; Gorri demande, pour la deuxième fois, la main de Maider à Juana quand des cris retentissent : c’est un cheval emballé, attelé à un tilbury et que, bien sûr, Gorri va calmer, pour le plus grand bonheur de la passagère de la voiture.

Avec Robert ETCHEVERRY, Danièle EVENOU, Elisabeth WIENER