Julien CLERC dévoile "La mère évanouie" signé VIANNEY

Par Thierry Cadet
Le 9 octobre 2017
3 mins
Julien CLERC dévoile "La mère évanouie" signé VIANNEY
Crédit photo : visuel du single "La mère évanouie"

Le second extrait du nouvel album de Julien CLERC "A nos amours" à paraître le 20 octobre prochain, vient d'être dévoilé (avec aussi "La plata" sur un poème de Henry Jean-Marie LEVET). Après l'entêtant "Je t'aime etc" (voir sur ce lien), il s'agit de la ballade "La mère évanouie", dont le texte est signé VIANNEY (qui écrit également pour le prochain album de Gérard LENORMAN). Les deux artistes se connaissent depuis deux ans et demi, quand l'interprète de "Ma préférence" avait choisi celui de "Pas là" rencontré lors des Talents W9. Il lui avait alors proposé de réaliser ses premières parties (voir sur ce lien).

Le nouveau disque de Julien CLERC "A nos amours" sera pour autant réalisé par CALOGERO (voir sur ce lien), avec l'apport de la plume de Didier BARBELIVIEN (ce dernier l'ayant récemment confié à Frédéric ZEITOUN sur Melody), Maxime LE FORESTIER, Brigitte FONTAINE, Gaël FAYE, Alex BEAUPAIN et… VIANNEY. Julien CLERC lancera aussi "La tournée des 50 ans". Une nouvelle série de concerts pour fêter ses 50 ans de carrière, qui débutera en automne prochain. Deux dates sont d'ores et déjà prévues à l'Olympia, du 9 au 11 mars 2018, et à la Salle Pleyel de Paris, du 16 au 18 mars 2018.

Julien CLERC naît Paul LECLERC, le 4 octobre 1947 à Paris, fils de Louis LECLERC, haut fonctionnaire à l'Unesco, et d'Evelyne MERLOT, d'origine guadeloupéenne. Ses parents divorceront lorsqu'il est encore jeune. Le petit Paul grandit avec ses cinq frères et soeurs, partagé entre le domicile de son père et celui de sa mère, la musique classique de son père et la chanson française de sa mère. En 1966, c'est sa rencontre avec Etienne RODA-GIL, son futur parolier, qui sera décisive. Le trio VALLET/LECLERC/RODA-GIL écrit de nombreuses chansons. Deux ans plus tard, c'est une audition chez Pathé qui lui permettra de signer son premier contrat, et de décrocher son premier tube auprès d’une jeunesse en pleine révolution : "La cavalerie".

Thierry Cadet