SHEILA : écoutez "L'écuyère" son duo avec...

Par Thierry Cadet
Le 27 octobre 2017
3 mins
SHEILA : écoutez "L'écuyère" son duo avec...
Crédit photo : capture d'écran

"L'écuyère" est un titre datant de 1984. SHEILA l'enregistre à l'époque aux Bahamas pour les besoins de l'album "Je suis comme toi", un disque produit par son futur mari Yves MARTIN. "L'écuyère", pourtant de nombreuses fois défendu à la télévision, ne sera pas extrait en 45 tours ; seuls "Film à l'envers" et "Je suis comme toi" auront ce privilège. Pour autant, Camille LOU a décidé de réinventer cette chanson au sein de son disque de reprises "Love Me Baby", en duo avec sa créatrice.

Le 17 novembre prochain, Camille LOU dévoilera en effet son opus, publié chez Warner Music et composé de reprises de SHEILA. Après "Self Control" (voir sur ce lien), qui n'aura pas fait le travail en radios, la chanteuse de 25 ans a décidé d'embrayer sur une reprise d'un des titres les plus marquants de SHEILA : "Spacer". A la fin des années 70, deux albums cultes, "King Of The World" (avec le groupe CHIC), et un second "Little Darlin'" produit par Keith OLSEN (le producteur de FLEETWOOD MAC et de Pat BENATAR), avaient alors permis à SHEILA de se classer dans les charts américains. Une première depuis Edith PIAF.

C'est donc sur le modèle des chansons de Claude FRANÇOIS reprises par M. POKORA, que le label de la chanteuse Camille LOU (uniquement connue pour ses rôles dans les comédies musicales "1789, les amants de la Bastille", "La Légende du Roi Arthur" et sa participation à l'émission "Danse avec les stars") a eu la bonne idée l'idée de faire chanter cette dernière sur les chansons de… SHEILA. "J'étais en train de travailler sur mes compositions et mon propre album et je sentais que je n'étais pas complètement prête. Warner m'a proposé ce disque de reprises en me disant : "Tu es un peu la SHEILA d'aujourd'hui : tu danses, tu chantes, tu joues la comédie". Et SHEILA ça me parlait, c'est des chansons que j'ai écoutées en famille, notamment pendant des fêtes de Noël" confie Camille LOU à nos confrères du "Parisien".

Thierry Cadet