Anthony Delon condamné à verser 8 000 euros d'amende à Laeticia Hallyday
En avril dernier, Anthony DELON confirmait la rumeur lancée par nos confrères de « VSD », soit la liaison entre Laeticia HALLYDAY et Sébastien FARRAN (le manager de Johnny) : « Ça fait trois ans » (voir sur ce lien). Si « VSD » ne se prononçait pas, insinuant seulement que le duo pourrait avoir des affinités plus qu’amicales, le fils d’Alain DELON, enfonçait le clou : « Sérieusement, vous pensez que je raconte des conneries pour aider David ? Pas sérieux. Je suis tombé sur cette photo et j’ai commenté en fonction de ce que je sais. J’ai autre chose à faire que de me balader sur Insta JUSTE pour raconter des mensonges pour l’un ou l’autre ‘camp’« .
Laeticia HALLYDAY attaquait alors Anthony DELON en justice devant le tribunal de grande instance de Paris pour atteinte à la vie privée. Elle réclamait 20 000 euros d’amende pour réparation de ce préjudice et 5 000 euros au titre de l’article 700 du Code de procédure civile. Aujourd’hui, la justice a tranché : Anthony DELON est condamné à 8 000 euros d’amende pour atteinte à la vie privée de la veuve de Johnny HALLYDAY et à 2 000 euros pour l’article 700 du Code de procédure civile. « Le Figaro » précise qu’il a décidé de faire appel de cette décision.
Sébastien FARRAN est l’homme qui a aidé Laeticia HALLYDAY à mener à bien l’album posthume du chanteur. Et qui prend soin d’elle depuis son retour à Los Angeles, alors qu’elle est attaquée de toute part. « Laeticia subit une campagne calomnieuse orchestrée pour démolir son image, sa réputation, et celle de son mari. On la présente presque comme une sorcière ! Elle est dévastée« .
LE SAVIEZ-VOUS ?
C’est un nouveau rebondissement dans l’affaire de l’héritage de Johnny HALLYDAY. Les enfants aînés de l’artiste, David HALLYDAY et Laura SMET avaient assigné en référé les trois maisons de disques du chanteur pour faire geler 75% des royalties (le pourcentage des revenus liés aux ventes des disques désormais à sa veuve Laeticia). Les ventes du dernier album « Mon pays c’est l’amour« , ayant atteint le million de passages en caisse, en trois semaines seulement, étaient également concernées. Résultat : la justice vient d’ordonner le gel de 37,5 % des sommes détenus par Universal, Warner et Sony depuis le 1er janvier 2018. Il s’agit de la part qui devrait revenir aux deux enfants aînés, si le droit français venait à s’appliquer.
Par Damien Louvetys