Cabrel, Peyrac, Higelin, Duteil... chantés par Nolwenn Leroy sur un disque de reprises

Par damien_louvetys
Le 13 septembre 2018
3 mins

Un an seulement après l’album de compositions originales « Gemme« , sorti en septembre 2017, et alors qu’elle évoquait la sortie d’un « Bretonne 2« , Nolwenn LEROY a finalement opté pour un disque de reprises de chansons folk issues des années 70. « Ça va être un album concept. L’idée, c’est de me laisser le temps d’écrire mes nouvelles chansons. Ça prend toujours un peu de temps donc ça permet de rester présente » souligne-t-elle à nos confrères de RTL. L’occasion donc de redécouvrir « Je t’aimais, je t’aime, je t’aimerai » de Francis CABREL (pourtant de 1994), « So Far Away From L.A. » de Nicolas PEYRAC, mais aussi Yves DUTEIL ou Jacques HIGELIN (le premier extrait, « Je ne peux plus dire je t’aime« ), sur un disque arrangé par Clément DUCOL (CAMILLE, VIANNEY…). La sortie de « Folk » est prévue le 2 novembre prochain. « Le lien est fait quelque part, puisque le folk est une musique populaire et les chants traditionnels bretons sont des chansons populaires. Une tournée est prévue, à partir de la rentrée. Les dates courront jusqu’à Noël« .

En 2010, la lauréate de la seconde saison de « Star Academy » (en 2002 sur TF1), dévoile son quatrième album. « Bretonne » reprend les chansons traditionnelles des Côtes-d’Armor, du Finistère, d’Ille-et-Vilaine et du Morbihan, et s’écoule à plus d’un million d’exemplaires. Un triomphe surprise, l’un des plus gros succès de la décennie. « Je ne ferme pas complètement la porte à un « Bretonne 2 » mais je réfléchis pour l’instant à un projet qui y serait lié, sous un autre angle, sans être une suite » confie-t-elle à nos confrères de « Ouest France ». « « Bretonne » était un projet de cœur. Il n’avait rien de commercial mais l’est devenu par la force des choses. Ce qui n’était pas mon intention de départ. Le succès a été vraiment inattendu. J’ai été émerveillée de voir que le projet a fédéré au-delà de la Bretagne et que le public s’en soit véritablement emparé« .

Par Damien Louvetys