Découvrez le nouveau clip de Rick Astley : "Try"

Par Thierry Cadet
Le 8 octobre 2018
3 mins
Découvrez le nouveau clip de Rick Astley : "Try"
Crédit photo : capture d'écran

Ce lundi soir à 20h00, Rick ASTLEY se produira sur la scène de l’Alhambra, à Paris. L’artiste britannique et son emblématique tube « Never Gonna Give You Up » (Top 6 en 1988) seront de retour en France, après avoir déjà fait sold-out lors de leur dernier passage, il y a juste un an. Rick ASTLEY peut se targuer d’être — avec Kylie MINOGUE, l’un des seuls artistes estampillés synthpop STOCK/AITKEN/WATERMAN à continuer à vendre des disques, et à remplir des salles (tous deux étaient par ailleurs récemment réunis en live à Hyde Park, voir vidéo ci-dessous).

Car trente ans après ses débuts, le chanteur a créé l’évènement outre-Manche avec son disque « Beautiful Life » (sorti chez nous en juillet dernier). Lui qui était revenu en 2016 avec son premier album en onze ans, « 50« , garde les rennes de son successeur, qu’il a écrit et produit. « Au milieu de toute cette folie, je suis juste retourné dans mon petit studio parce que c’est ce que j’aime faire » déclare le chanteur. « C’est vraiment mon refuge, je bricolais avec des morceaux et avant que je ne le sache, je faisais un nouveau record » confie-t-il. En effet, l’album précédent de Rick ASTLEY a été un succès surprise en Grande-Bretagne, passant à plus de 300 000 exemplaires vendus, et se classant parmi les vingt meilleures ventes de disques de l’année. Une véritable résurrection (voir sur ce lien).

Rick ASTLEY n’a que 19 ans lorsqu’il devient n°1 UK avec « Never Gonna Give You Up » — adapté en français en 1996 par 2BE3Toujours là pour toi« ). Par la suite, son premier opus se vend à plus d’un million d’exemplaires en Europe. En 1988, il sera même n°1 aux États-Unis avec ses deux premiers singles et sept de ses titres seront présents dans le Top 10 anglais. « Whenever You Need Somebody » (11ème en France), « Together Forever » (18ème en France) et « Take Me To Your Heart » (18ème en France) marqueront également nos compatriotes. Quatre tubes, et puis s’en va.

Par Thierry Cadet