Julie Bataille dévoile son autobiographie : "Y en a qu'une, c'est la brune !"

2019 serait-elle l’année Julie BATAILLE ? Après avoir dévoilé son Best of « La petite minette » (voir sur ce lien), c’est à présent son autobiographie « Y en a qu’une, c’est la brune ! » (à la double référence, le tube de LIO et le slogan de TF1 nouvellement privatisée en 1987), que la chanteuse et comédienne dévoile aux Editions du Net. Le livre raconte le parcours extraordinaire d’une petite fille ordinaire. Claude FRANÇOIS la remarque à l’âge de treize ans, mais c’est Claude CARRÈRE, le producteur de SHEILA, qui va la propulser en tête des hit-parades avec plus d’un million de 45 tours vendus (« Pas besoin d’éducation sexuelle« , « La petite minette« , « Tu es la plus belle« …). Elle sera même la première à enregistrer la chanson « Twister ma peine« , sous le titre initial « Dancing » en 1982, avant que Karen CHERYL ne la récupère.

Animatrice aux côtés de Jacques MARTIN ou de DOROTHÉE, vedette adulée au Japon, elle connaîtra des sommets et des désillusions avant de devenir l’une des voix les plus connues de France (notamment grâce aux « Guignols de l’info » sur Canal+). Ce conte de fées moderne nous entraîne dans les coulisses du showbiz à travers les yeux d’une ado, puis d’une femme épanouie, qui a livré plus d’une Bataille… « Avec ce pseudonyme, Julie ne pouvait être qu’une guerrière. Je crois qu’elle a passé sa vie à l’être. Une volonté de fer dans une voix de velours » confie Jean-Pierre PASQUALINI.

LE SAVIEZ-VOUS ?

En 2014, Julie BATAILLE rejoint les animateurs de Melody pour présenter durant une saison l’émission « Melody est à vous« , une adaptation de « La Une est à vous » créée par Guy LUX en 1973, et diffusée sur la Première chaîne de l’ORTF. Il s’agissait de la première émission interactive de la télévision française, permettant à chacun de voter pour sa série préférée au standard de SVP 11 11. En 1987, l’émission fait son retour sur TF1, nouvellement privatisée, après onze ans d’absence. Elle est présentée par Sylvain AUGIER, puis par Bernard MONTIEL dès 1988, avant de prendre fin définitivement en 1994.

Par Thierry Cadet