Le groupe yéyé LES PARISIENNES de retour avec...
Dans les années 60, LES PARISIENNES est le nom d’un groupe de musique yéyé composé, sur une idée de Claude BOLLING, de quatre danseuses : Raymonde BRONSTEIN, Anne LEFÉBURE, Hélène LONGUET et Anne-Marie ROYER, chantent à l’unisson, notamment le tube « Il fait trop beau pour travailler« , dès 1964. Sur scène, accompagnées par un orchestre, elles étaient mises en scène par Roland PETIT. Plus de cinquante ans après, Laurent RUQUIER a choisi Arielle DOMBASLE, Mareva GALANTER (Miss France 1999), Inna MODJA et Helena NOGUERRA (la sœur de LIO), pour réaliser un rêve de gosse : reformer et produire LES PARISIENNES. « Il y a de la tendresse et de l’admiration entre nous quatre. La complicité est venue très vite. Je suis née aux Etats-Unis, Mareva à Tahiti, Helena en Belgique et Inna à Bamako. C’est ça, être parisienne. LES PARISIENNES sont restées dans le subconscient des français. A l’époque, c’étaient des femmes libérées. A notre tour de mettre la féminité aux postes de commande » confie Arielle DOMBASLE à nos confrères du « Parisien ». « C’est un casting improbable mais magique. Nous sommes différentes et complémentaires. Nous sommes toutes parisiennes d’adoption. Paris nous a apprivoisées. Et j’espère que nous le lui rendons bien » renchérit Mareva GALANTER.
Ces nouvelles PARISIENNES sortiront leur album de reprises au printemps 2018, avant de se produire du 24 mai au 3 juin prochain aux Folies Bergère de Paris. « Paris a été blessé ces dernières années » ajoute Inna MODJA. « Et on a envie de redonner le sourire, de remettre en avant son côté solaire« . Un projet féministe ? Selon Helena NOGUERRA, « tout acte est politique« . La seule qui avait déjà repris une chanson des PARISIENNES « Bonne nuit mes agneaux« , en duo avec Philippe KATERINE.