PRISCILLA : Benjamin BIOLAY et Daniel DARC sur son nouvel album

Par Thierry Cadet
Le 2 novembre 2015
3 mins
PRISCILLA : Benjamin BIOLAY et Daniel DARC sur son nouvel album
Crédit photo : Facebook officiel

Elle est l’une des favorites de la nouvelle saison de « Danse avec les stars« , sur TF1. Certains d’entre vous l’ont récemment applaudie au sein de la comédie musicale « Flashdance », à Paris (la jeune chanteuse avait déjà adapté avec succès « What A Feeling » en « Une vie nouvelle » en 2002). L’ex-lolita PRISCILLA, célèbre auprès des enfants durant les années 2000, entend bien profiter de cette nouvelle exposition qui lui est allouée, pour revenir sur le devant de la scène, quatorze ans après son premier succès « Quand je serai jeune« , avec un nouvel album. Et pour ce faire, Priscilla BETTI a mis les bouchées doubles ! Niveau crédits, il faudra compter sur Daniel DARC – qui lui a offert une chanson avant sa disparition, et sur Benjamin BIOLAY (le 18 décembre sur Melody avec son concert en hommage à Charles TRENET). Des signatures prestigieuses qui devrait permettre à l’interprète de « Regarde-moi (teste-moi, déteste-moi) » de gagner un nouveau public. Après tout pourquoi pas ? VANESSA a eu GAINSBOURG, ELSA a eu DA SILVA (actuellement sur Melody dans « Générations Melody »)…

« J’ai fait beau­coup de rencontres, beau­coup d’heures de studio, beau­coup de maquettes. Main­te­nant j’ai les réponses à mes ques­tions : je veux évoluer dans un registre plutôt soul. C’est la musique que j’ai écou­tée depuis toute jeune, mes parents adoraient ça, ainsi que le jazz et la Motown …/… J’ai eu la chance de rencon­trer Daniel DARC avant qu’il s’en aille. Il m’a écrit une très jolie chan­son, sans doute l’une de mes préfé­rées. J’ai aussi colla­boré avec Benja­min BIOLAY, entre autres, et Laurent MARIMBERT (ndlr : compositeur du tube 90’s « Partir un jour » pour 2BE3) a réalisé l’album. Sans eux, je n’aurais pas fait grand-chose, ils sont très impor­tants pour moi » confie la jeune femme, âgée aujourd’hui de 26 ans, à nos confrères du « Nouvel Observateur ».

Thierry Cadet