Staff : les Rencontres d'Astaffort de Francis Cabrel clippées sur "Comme en exil"

Par Thierry Cadet
Le 22 septembre 2018
2 mins
Staff : les Rencontres d'Astaffort de Francis Cabrel clippées sur "Comme en exil"
Crédit photo : capture d'écran

Créées en 1994, les Rencontres d’Astaffort, se sont imposées en moins de deux décennies comme un outil de formation pour les artistes et les professionnels de l’espace francophone. C’est l’association Voix du Sud, fondée en 1992 avec Francis CABREL, qui porte ce projet original. STAFF est le premier album des Rencontres d’Astaffort, un témoignage (dont nous vous parlions déjà en juin dernier) de ce qui se crée de mieux dans le Sud-Ouest.

Le disque, réalisé par Thomas COGNY secondé par Bruno GUGLIELMI (auteur notamment pour Julien CLERC) et par Arthur LE FORESTIER, sera disponible dès le 26 octobre prochain, porté par un premier single : « Comme en exil » (composé par Thomas COGNY et interprété par VALENTIN), dont le clip, avec la participation de Thomas COGNY, Bruno GUGLIELMI, Stellia KOUMBA et ANTSA & MENDRIKA, vient d’être dévoilé.

Pour la première fois, face à la pertinence des chansons produites et à la parfaite harmonie de l’équipe formée pour les 45èmes rencontres parrainées par Julien DORÉ en septembre 2017, le travail d’un album vient prolonger l’aventure. Quinze artistes, parmi lesquels Céleste LEVIS, Stellia KOUMBA, AELLE, ANTSA & MENDRIKA (dont le single « Je suis comme toi » a tourné tout l’été en radio), Quentin MAQUET (DALTON TELEGRAM), CHEVEU, Bruno GUGLIELMI, Arthur LE FORESTIER, YELLOW, Baptiste BRAMAN, Cyril CRABOS (LE TROTTOIR D’EN FACE), GRIMME qui pour la première fois chante en français, et enfin le guitariste Thomas COGNY sus-cité, qui assure la cohésion musicale. Un album à la fois éclectique et tenu par la force, la vitalité de faire de la musique ensemble. « J’ai décidé d’enregistrer tous ces garçons et filles, et de faire un album. Et après ce qu’il va se passer, personne ne le sait. Mais l’histoire commune est belle, ils ont une vie artistique commune assez foisonnante » confie Francis CABREL.

Par Thierry Cadet