Le biopic sur l'icône allemande des 60's NICO sortira en avril

Par Thierry Cadet
Le 24 janvier 2018
3 mins
Le biopic sur l'icône allemande des 60's NICO sortira en avril
Crédit photo : affiche du film "Nico, 1988"

Christa PÄFFGEN, plus connue sous le nom de scène de NICO, a été la muse de WARHOL, la chanteuse du VELVET UNDERGROUND dans les années 60, et une femme à la beauté légendaire. Le film « Nico, 1988« , en salles le 18 avril prochain, retrace l’histoire de sa dernière tournée avec le groupe qui l’accompagna à travers l’Europe dans les années 80. Entre Paris, Prague, Nuremberg, Manchester, la campagne polonaise et le littoral romain, « Nico, 1988 » est un road movie dédié à ses dernières années. C’est l’histoire de la renaissance d’une artiste, d’une mère, de la femme derrière l’icône, qui nous quittera le 18 juillet 1988 à l’âge de 49 ans, des suites d’une hémorragie cérébrale, quelques heures après une chute de bicyclette sur l’île d’Ibiza.

« Nico, 1988 » a reçu en 2017 le Prix Orizzonti du « Meilleur film » au Festival de Venise, ainsi que le Grand Prix du Jury au Festival de Cinéma Européen des Arcs.

Un projet parfaitement international initié par sa réalisatrice italienne Susanna NICCHIARELLI, regroupant la comédienne danoise Trine DYRHOLM dans le rôle de Nico, et le très beau et prometteur jeune comédien français, Sandor FUNTEK – déjà aperçu à la télévision dans le clip de BRIGITTE « Ma B*nz » il y a huit ans, ou épris de Muriel ROBIN dans le téléfilm de Josée DAYAN « Mourir d’aimer« , et au cinéma dans « La vie d’Adèle« , ou plus récemment dans « Les derniers parisiens« .

 

LE SAVIEZ-VOUS ?

En couple avec la comédienne allemande Romy SCHNEIDER, Alain DELON a un coup de cœur en 1962 pour la chanteuse NICO. De cette liaison éphémère naîtra un fils, Ari, qu’Alain DELON ne reconnaîtra jamais, mais que sa mère Edith adoptera comme petit-fils. Le petit garçon blond qui joue entre Lou REED et John CALE sur les photos du VELVET UNDERGROUND à la Factory, c’est lui. Ari PÄFFGEN est à présent âgé de 55 ans.

Par Thierry Cadet