Bernard Minet revient avec "L'essentiel", incluant des inédits

Par Thierry Cadet
Le 31 octobre 2018
3 mins
Bernard Minet revient avec "L'essentiel", incluant des inédits
Crédit photo : visuel du Best of de Bernard Minet

Dès le 16 novembre prochain, Bernard MINET fêtera ses 35 ans de carrière avec la parution d’un coffret 3 CD « L’essentiel« . Un projet de 76 titres, incluant tous ses génériques, des reprises et des inédits, notamment les versions jazzy de « Bioman« , « Capitaine Flam » et « Les chevaliers du zodiaque« . Il y a un an déjà, pour remercier les copains du « Club Do » toujours fidèles, Bernard MINET proposait de découvrir une nouvelle chanson « Hommage au Club Do » (incluse à ce nouveau Best of). « LES MUSCLÉS, bien sûr c’était une aventure merveilleuse, mais vous savez, qui est gâchée par la disparition de mes deux potes. C’est très très triste, j’ai une pensée pour leurs épouses et pour la fille de FRAMBOISIER. C’est un grand manque, c’est terrible. Ça c’est pas marrant« . René MORIZUR et Claude CHAMBOISIER (alias FRAMBOISIER), étant respectivement décédés en 2009 et 2015 (voir sur ce lien).

Parallèlement à « L’essentiel« , sort aussi un nouvel album de Bernard MINET, « Aujourd’hui » chez Escene Music (voir sur ce lien). On y retrouve notamment l’inédit « Youpi Cosplay« .

Bernard MINET était par ailleurs revenu en 2015 sur son parcours au sein d’une biographie intitulée « Ma vie de folie » (écrite avec la complicité de Clarisse MERIGEOT et préfacée par DOROTHÉE). Le parcours d’un brillant musicien d’abord, celui de Charles AZNAVOUR, SHEILA, Alain CHAMFORT ou Nicole CROISILLE, mais aussi sur sa participation au « Club Dorothée » et à la sitcom « Salut les Musclés » et sur l’incroyable ascension de son groupe made in AB aux multiples tubes — allant de « La fête au village » à « Merguez-partie« . Moitié homme, moitié robot, c’est avec la plus grande sincérité que Bernard MINET se racontait, revenant sur sa grande époque, mais aussi sur les années de galères qui ont suivi quand tout s’est arrêté du jour au lendemain, et qu’il a fallu sortir la tête de l’eau.

Par Thierry Cadet