Florent Pagny aime la vie, et il le chante !

Par Thierry Cadet
Le 31 mai 2019
3 mins
Florent Pagny aime la vie, et il le chante !
Crédit photo : capture d'écran

Même si c’est une folie ? Florent PAGNY dévoile sa nouvelle chanson, « Aime la vie » (une ballade piano-voix réalisée par DARAN), en qualité de nouvel extrait de son nouvel album, après « Rafale de vent« . Le disque (19ème du nom !), en bacs dès le 7 juin prochain, intervient deux ans après « Le présent d’abord« , et un an seulement après son disque de reprises « Tout simplement« . Concocté avec Manu MARTIN, Martina ROSSO et Mathias GIUNTA (son neveu qui signe la plupart des textes), ce nouvel album est un carnet de bord intérieur de sa vie en Patagonie, dont il arpente quasi-quotidiennement les terres de liberté. « Ici, on parle des choses simples de la vie, du monde qui nous entoure et sur lequel on peine parfois à ouvrir les yeux » confie l’artiste âgé de 58 ans au sein du communiqué de presse. C’est le Florent PAGNY qu’on aime, celui qui nous pousse à ressentir, à nous ouvrir, à être heureux.

A l’inverse de la chanson minimaliste, Florent PAGNY (fan de Luis MARIANO dans son enfance) incarne le chanteur « à voix », et montre par l’adhésion qu’il suscite combien le public populaire reste friand de ce genre. S’il a commencé à se produire dès l’âge de treize ans sur les podiums, c’est par des petits rôles au cinéma qu’il débute vraiment. En 1988, il attaque par un titre fort sur le thème de la drogue (« N’importe quoi« ) : résultat, 1 million de 45 tours vendus. Après une reprise du célèbre « Comme d’habitude » de Claude FRANÇOIS (voir sur ce lien), il sort un premier album en 1990, intitulé « Merci« .

Il vit alors une aventure sentimentale avec Vanessa PARADIS et n’épargne pas les journalistes (« Presse qui roule« ), qui d’ailleurs le lui rendent bien et ne vont pas l’aider dans les deux-trois années moroses qu’il va subir après la rupture avec la jeune femme. Son sauveur s’appellera Jean-Jacques GOLDMAN, auteur de titres efficaces : « Est-ce que tu me suis ?« , et bien sûr « Si tu veux m’essayer » emprunté à Emilie BONNET, dans l’album de 1994. Dès lors, la machine à remonter les tubes est lancée.

Par Thierry Cadet