Marc Lavoine est seul définitivement
Le nouvel album de Marc LAVOINE « Je reviens à toi« , n’est pas nommé aux Victoires de la Musique (voir sur ce lien). Qu’importe ! Il continue sa course avec un nouvel extrait, « Seul définitivement« , un reggae où l’artiste exécute un savoureux one-man show chorégraphié par Blanca LI. On se réjouit de voir Marc LAVOINE incarner la solitude avec autant de malice, d’autodérision et beaucoup d’affection pour les âmes seules, peut-être pas si définitivement.
Ainsi, après « Je reviens à toi » et « Comme je t’aime« , la promotion du disque se poursuit. Avec le bel accueil de ce nouvel album (n°1 dès sa sortie) et son actuelle tournée (il était à la Seine Musicale de Paris en octobre dernier), 2019 sera-t-elle l’année de Marc LAVOINE ? Ecrit dans la foulée d’un premier roman autobiographique dédié à son père (« L’homme qui ment« , paru chez Fayard il y a trois ans) à la force et l’honnêteté désarmantes, c’est aussi le disque du retour à ses côtes de son compositeur fétiche des débuts, Fabrice ABOULKER.
Sept ans ont passé depuis l’opus « Je descends du singe« , trois ans depuis la parenthèse « Les souliers rouges« , le conte musical sorti en 2016 en collaboration avec COEUR DE PIRATE et Arthur H. Ce nouveau disque, réalisé par Marc LAVOINE avec la complicité de François DELABRIERE, est d’abord celui d’un artiste qui ne cesse de surprendre et d’émouvoir. Celui d’un auteur dont les chansons sont autant d’airs que l’on fredonne, mais aussi des textes qui s’écoutent.
LE SAVIEZ-VOUS ?
Marc LAVOINE et son épouse Sarah, mariés depuis 1995, viennent d’annoncer à l’AFP leur divorce. Après près de 23 ans de mariage. Ensemble, ils ont eu trois enfants : Yasmine (née en 1998), Roman (né en 2007) et Milo (né en 2010). « Sarah et Marc LAVOINE ont pris la décision de se séparer« , peut-on lire dans le communiqué transmis à l’AFP. « Ils ont choisi de rendre cette information publique de manière exceptionnelle car leur priorité est de préserver la vie privée de leurs trois enfants dans ces moments que chacun sait difficiles. Merci de respecter leur intimité« .
Par Thierry Cadet